Bâti sur une terre désertique, le pays d’Australie n’a rien d’aride. Ses paysages lacunaires ont laissé la place à des mégapoles puissantes et ses reliefs impressionnent par leur altitude vertigineuse, sans compter la faune unique en son genre qui peuple la forêt tasmanienne. Clin d’œil à l’Australie et ses particularités fascinantes.
Sydney : la mégapole australienne
Une escale à Sydney s’impose pour découvrir la vie urbaine à l’australienne. Avant de vous perdre dans les paysages lacunaires et désertiques du pays des kangourous, un séjour à Sydney vous permettra de mesurer le développement économique de l’Australie, grâce notamment à ses activités portuaires. Visiter la mégapole vous permettra également de recenser le patrimoine architectural de l’époque gothique, géorgienne ou encore victorienne, mais aussi ses sites culturels notamment ses grands opéras.
Admirer la barrière escarpée de la cordillère australienne
Culminant à l’est du Victoria et gravitant la pointe nord-est du Queensland, la cordillère australienne est un spectacle de chaînes de montagnes, offrant une vue imprenable presque insaisissable de remparts naturels. Les plus surprenants de ces massifs sont en outre, les montagnes enneigés ou Snowy Mountains, le pic Mawson, le Mont Kosciuzko, les Montagnes Bleues ou encore les Alpes victoriennes.
Australie : une réserve d’espèces animales endémiques
Probablement le continent le plus vieux de la Terre, l’Australie profite de son isolation au reste du monde pour préserver des espèces animales disparues depuis des siècles. Cette île désertique et semi-aride est le territoire des mammifères ovipares, mais également des marsupiaux, des familles d’animaux que l’on reconnait par leurs poches abdominales. On y recense une faune assez particulière que l’on ne retrouve nulle part ailleurs, soit plus de 80% d’espèces endémiques. Les réserves faunistiques de Tasmanie vous permettront en outre de contempler de près le koala, le dingo, le kangourou, le wombat, l’émeu, l’échidné ou encore l’ornithorynque. Frappé par les maladies, l’écosystème tend à se fragiliser si bien que la forêt tasmanienne tend à se dépeupler.
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